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En 1653 (62), il ne reste plus rien de l’ancien manoir de la Gaudinais. Le mur d’enceinte a disparu, les bois de décoration n’encadrent plus l’avenue d’accès, le bâtiment actuel, bien restauré, sobre, classique, a remplacé la gentilhommière du XVe siècle. Mais que de souvenirs en tous ces lieux !
La seigneurie de la Gaudinais était vassale de la seigneurie de la Gacilly(63)
Gaudinais ou Gaudinaie est le hameau d’une famille Gaudin. La terminaison en ais ou aie s’est substituée à l’ancienne terminaison aye. Beaucoup de noms féminins ont pris naissance sur un nom de personne masculin ; exemple : Gaudin Gaudinaie.
Souvent de création ancienne, beaucoup se sont développés autour d’un manoir ou seigneurie et ont été le centre d’un domaine féodal plus ou moins important, comme la Gaudinais de Glénac le prouve.
Jadis [50], siège d’une seigneurie, le manoir avait une chapelle domestique, 3 km à l’ouest.
voir aussi - Chapelle de la gaudinais.
Vers 1426
Réformation de 1448 . Voir le détail de l'enquête pour Branféré.
Réformation de 1536
1523 –
1523
Il eut un fils Guillaume qui épousa Gillonne (ou Gilette) du Matz ; c’est une famille originaire du pays de Rieux ou des environs immédiats, très liée avec d’autres familles comme les Bogier du Vaudequip en Allaire, les Souallaye de Béganne et aussi les de Forges de Glénac et ceux de la Boucelaye. Guillaume fut inhumé en juillet 1697 dans la chapelle du Rosaire à Glénac. Sa veuve Gillonne (ou Gilette suivant les textes) lui survivra treize ans. Elle ne quittera pas la Gaudinais
1623 –
27 mars 1764 : mariage entre l’écuyer messire Louis Armand Henri de Quélo, officier au régiment de Béarn, fils de messire Henri Joseph de Quélo et de feue dame Perrine Hélène de la Landelle de Roscanvec, de la paroisse de Bains, et demoiselle Louise Marie de Forges, fille de messire Charles François de Forges et de dame Anne Marguerite du Bot, seigneur et dame de la Gaudinays.
Sources
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