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Etymologie
, il signifie "bruyère". Il semble en effet que les landes autour de Guéméné-Penfao (44) en furent recouvertes autrefois, comme l'attestent d'autres noms de lieux-dits. La famille de Bruc tire donc son nom du lieu où fut construit le manoir. Il semble qu'elle le possédait déjà au Xème siècle, et en a pris le nom au XIème. Dès cette époque, la seigneurie de Bruc est la plus importantes de Guéméné
Premier du nom, Écuyer, seigneur de Bruc, fut un des gentilshommes bretons qui s’engagèrent, par acte du 26 avril 1379, à défendre le droit ducal en Bretagne. Pendant l’absence de leur prince qui était passé en Angleterre, [1] [2] il ratifia, sous son sceau, à Pouancé, le 25 mai 1381, le Traité de paix de Guérande conclu entre Jean, duc de Bretagne, comte de Montfort et de Richemont, et le roi de France Charles VI [3]. Par ce traité de Guérande, Jean de Montfort reprenait possession de son duché à condition de rendre hommage au roi de France et de lui verser une rente de guerre de 200.000 livres. Cette réconciliation, si importante pour l’avenir de la Bretagne, était paraphée par les barons et hauts dignitaires bretons, ainsi que par leurs officiers. À côté de la signature de Pierre de Bruc, figure celle de Jehan de la Boucelaye.
Le mariage de Richard II et d'Isabelle de France dans un camp situé entre la ville française d'Ardres et la ville anglaise de Guines, Charles VI remet, le 30 octobre 1396, sa fille Isabelle au roi Richard II.
Pierre de BRUC .appuya, par une transaction et divers actes de famille et par différents extraits des titres de l’abbaye de Redon son mariage, vers l'an 1330, avec Isabeau, dame de la Boutveillaye, paroisse de Glénac, en l’évêché de Vannes, à condition que cette terre serait l’apanage d’un de leurs fils qui en prendrait le nom et leurs armes. Ils en eurent deux :
Dame de la Boutveillaye, première femme de Tristan de la Lande, chevalier, seigneur de Guignen et de Vauronant, Grand Maître de Bretagne, gouverneur de Nantes et de Saint Malo [18], regardé comme l’un des champions du combat de Trente. (Voir ci-après)
Mariée, par le duc de Bretagne, à Jean de Malestroit, seigneur d’Oudon, de la Vieillecourt, du Cellier, etc., dont elle eut postérité Combat des Trente. [19] Ce combat des trente chevaliers bretons, commandés par Jean de Beaumanoir, pour le parti de Blois, contre un nombre égal d'ennemis, vingt chevaliers anglais, six allemands et quatre bretons commandés par l'Anglais Bembro pour le parti de Montfort, célébré dans toutes les annales de Bretagne, chanté par tous les trouvères de cette province, est une action connue aujourd'hui de tout le monde jusque dans ses moindres détails, cependant nous croyons nécessaire de la rapporter sommairement ici. L'an 1351, pendant une des trêves qui suspendirent de temps en temps l'effusion du sang humain, lors de la longue guerre que fit Charles de BIois au comte de Montfort , son compétiteur, pour la possession du duché de Bretagne, pendant une de ces trêves dis-je , les Anglais auxiliaires du parti de Montfort, occupent la ville de Ploërmel sous le commandement d'un chevalier que les anciennes chroniques appellent Bembro ou Brembro, mais que je crois être un Pembrock dont le nom est défiguré par une de ces altérations de noms propres si communes dans nos vieux auteurs D'une autre part, Robert de Beaumanoir, maréchal de Bretagne, commandait dans Josselin pour Charles de Blois. Malgré la suspension d'armes, les Anglais de la garnison de Ploërmel, peu soucieux de l'observation de la trêve, faisaient de fréquentes excursions dans les campagnes du territoire de Josselin, détroussant les voyageurs, pillant les pauvres paysans et enlevant leurs bestiaux. Quelques-uns de ces malheureux se rendirent au château de Josselin et, se jetant aux pieds de Beaumanoir, implorèrent sa protection contre les maux que leurs faisaient éprouver les Anglais au mépris du droit des gens et de la foi des traités. Le noble guerrier accueillit leurs plaintes, les consola, et leur promit une prompte réparation de leurs griefs. Il se rendit incontinent à Ploërmel ; là, il reprocha à Brembro sa déloyauté et ses infractions à la trêve ; celui-ci répondit au maréchal avec une insolence qui l'offensa ; il s'ensuivit naturellement une vive altercation dont le résultat fut un défi de se combattre au nombre de trente contre trente de part et d'autre En apprenant ce défi, tous les gentilshommes de la garnison de Josselin briguèrent l'honneur de faire partie des trente combattants et Beaumanoir fut embarrassé relativement à la préférence. Tous, par leur valeur, avaient un droit égal d'être élus et le maréchal craignait d'humilier, par un refus, ceux qu'il ne pourrait comprendre au nombre de ses compagnons d'armes ; il fallut pourtant choisir. Tous les historiens de Bretagne nous ont transmis les noms de ces trente preux ; ils varient pourtant à l'égard de trois ou quatre. Brembro, de son côté, éprouva un embarras d'un autre genre. Il ne put trouver, dans sa garnison, assez d'Anglais pour compléter le nombre de trente. Il fut obligé, pour y atteindre, de prendre des Flamands auxiliaires et même des Bretons du parti de Montfort. Au jour fixé pour le combat, le 27 mars 1351, les champions des deux partis, armés de toutes pièces, montèrent à cheval et se rendirent au lieu désigné pour l'action. C'était près d'un gros chêne situé au milieu d'une lande et nommé le Chêne de Mi-Voie parce qu'il était juste à moitié chemin de Josselin à Ploërmel. Arrivés en ce lieu, les combattants mirent pied à terre et, avant d'en venir aux mains, il y eut un pourparler. Bembro, qui avait fait ses réflexions, représenta à Beaumanoir qu'ils s'étaient engagés trop légèrement pour en venir à une pareille action, vu l'état de trêve où étaient leurs princes respectifs ; que, par conséquent, il était à propos de leur demander leur autorisation pour vider leur différend les armes à la main. Il proposa donc de s'abstenir de toute hostilité jusqu'à ce qu'ils eussent obtenu ce consentement. Beaumanoir et ses Bretons, impatients de combattre, ne voulurent consentir à aucun délai et rejetèrent absolument la proposition de Bembro. Celui-ci, voyant l'ardeur impatiente qui animait ses adversaires, y opposa l'imperturbable et froid courage qui fit triompher ses compatriotes aux fatales batailles de Poitiers et de Crécy, malgré des forces ennemies bien supérieures. Il rangea ses compagnons sur une seule ligne de front et les fit se serrer étroitement l'un contre l'autre, de manière à présenter l'aspect d'une muraille de fer hérissée de piques, fauchards, épées à deux mains, guisarmes, etc. Dans cette position, il attendit l'attaque de ses ennemis. Les Bretons, bouillant d'ardeur, s'avancèrent sans beaucoup d'ordre et se précipitèrent impétueusement sur cette redoutable ligne qu'ils cherchèrent, mais en vain, à entamer. Ils se fatiguèrent, se consumèrent en inutiles efforts et deux des leurs, Pierre Poulart et Geoffroy de Mellon, mordirent la poussière. Yves Chârruel, Caro de Bodegat et Tristan de Péruvien, abattus par Bembro à coup de marteau d'armes, furent contraints de se rendre prisonniers. La fortune semblait vouloir se déclarer pour les Anglais, mais la perte de cinq des siens n'intimida point Beaumanoir ; il fit une courte harangue à sa troupe, l'exhorta à redoubler d'efforts et une charge vigoureuse fit reculer les Anglais, sans toutefois parvenir à les rompre. On se battit avec un acharnement sans exemple jusqu'à ce qu'enfin les deux partis, épuisés de fatigue et accablés par la chaleur, se séparèrent d'un commun accord pour se rafraîchir et reprendre haleine. Cette courte suspension d'armes fut suivie d'un choc plus terrible que les premiers. Beaumanoir surtout y fit des prodiges de valeur, mais fut blessé et la perte de son sang, jointe à la chaleur, lui causant une grande altération, il demanda à boire ; ce fut alors que l'écuyer de Geoffroy du Bois lui fit celle réponse si connue, « Bois ton sang, Beaumanoir, et ta soif passera ». Le maréchal, très affaibli, allait succomber et être fait prisonnier par Bembro lorsque Alain de Keranrais porta, à ce dernier, un coup de lance dans la visière qui lui entra dans l'œil, pénétra jusque dans la cervelle et le renversa raide mort. Le trépas de Bembro rendit libre, d'après les usages d'alors, les trois Bretons Charruel, Bodegat et Pestivien qui étaient ses prisonniers ; ils reprirent leur rang parmi leurs compatriotes. Les Anglais, déconcertés par la mort de leur chef, commençaient à s'ébranler, l'un deux, nommé Croquart, aventurier sans ayeux, mais d'une grande bravoure, prit le commandement, leur cria de tenir ferme et de bien se resserrer l'un contre l'autre. Ils reformèrent leur ligne et disputèrent, avec une nouvelle opiniâtreté, l'avantage de cette journée aux compagnons de Beaumanoir. Guillaume de Montauban, écuyer breton, voyant que le jour s'avançait et que malgré leurs efforts ses compatriotes ne pouvaient entamer la ligne que formaient les Anglais, s'avisa d'un stratège qui eut un plein succès ; se retirant à l'écart, il chaussa vite ses éperons, moulu sur son cheval et fit semblant de fuir, mais décrivant un circuit, il revint au galop sur les Anglais qu'il culbuta à coups de maillet en les foulant aux pieds de son coursier. Leur rang, une fois rompu, les Bretons l'enfoncèrent de toutes parts et achevèrent leur défaite en moins de rien. Tel fut le combat des Trente ; la valeur qu'y déployèrent les guerriers des deux partis, l'acharnement avec lequel la victoire y fut disputée, passèrent en proverbe et, dans la suite lorsqu'on voulait parler d'un combat opiniâtre, on disait : « On s'y battit comme au combat des Trente. »
Ce combat des trente chevaliers bretons, commandés par Jean de Beaumanoir, pour le parti de Blois, contre un nombre égal d'ennemis, vingt chevaliers anglais, six allemands et quatre bretons commandés par l'Anglais Bembro pour le parti de Montfort, célébré dans toutes les annales de Bretagne, chanté par tous les trouvères de cette province, est une action connue aujourd'hui de tout le monde jusque dans ses moindres détails, cependant nous croyons nécessaire de la rapporter sommairement ici.
L'an 1351, pendant une des trêves qui suspendirent de temps en temps l'effusion du sang humain, lors de la longue guerre que fit Charles de BIois au comte de Montfort , son compétiteur, pour la possession du duché de Bretagne, pendant une de ces trêves dis-je , les Anglais auxiliaires du parti de Montfort, occupent la ville de Ploërmel sous le commandement d'un chevalier que les anciennes chroniques appellent Bembro ou Brembro, mais que je crois être un Pembrock dont le nom est défiguré par une de ces altérations de noms propres si communes dans nos vieux auteurs
D'une autre part, Robert de Beaumanoir, maréchal de Bretagne, commandait dans Josselin pour Charles de Blois. Malgré la suspension d'armes, les Anglais de la garnison de Ploërmel, peu soucieux de l'observation de la trêve, faisaient de fréquentes excursions dans les campagnes du territoire de Josselin, détroussant les voyageurs, pillant les pauvres paysans et enlevant leurs bestiaux. Quelques-uns de ces malheureux se rendirent au château de Josselin et, se jetant aux pieds de Beaumanoir, implorèrent sa protection contre les maux que leurs faisaient éprouver les Anglais au mépris du droit des gens et de la foi des traités. Le noble guerrier accueillit leurs plaintes, les consola, et leur promit une prompte réparation de leurs griefs. Il se rendit incontinent à Ploërmel ; là, il reprocha à Brembro sa déloyauté et ses infractions à la trêve ; celui-ci répondit au maréchal avec une insolence qui l'offensa ; il s'ensuivit naturellement une vive altercation dont le résultat fut un défi de se combattre au nombre de trente contre trente de part et d'autre
En apprenant ce défi, tous les gentilshommes de la garnison de Josselin briguèrent l'honneur de faire partie des trente combattants et Beaumanoir fut embarrassé relativement à la préférence. Tous, par leur valeur, avaient un droit égal d'être élus et le maréchal craignait d'humilier, par un refus, ceux qu'il ne pourrait comprendre au nombre de ses compagnons d'armes ; il fallut pourtant choisir. Tous les historiens de Bretagne nous ont transmis les noms de ces trente preux ; ils varient pourtant à l'égard de trois ou quatre.
Brembro, de son côté, éprouva un embarras d'un autre genre. Il ne put trouver, dans sa garnison, assez d'Anglais pour compléter le nombre de trente. Il fut obligé, pour y atteindre, de prendre des Flamands auxiliaires et même des Bretons du parti de Montfort. Au jour fixé pour le combat, le 27 mars 1351, les champions des deux partis, armés de toutes pièces, montèrent à cheval et se rendirent au lieu désigné pour l'action. C'était près d'un gros chêne situé au milieu d'une lande et nommé le Chêne de Mi-Voie parce qu'il était juste à moitié chemin de Josselin à Ploërmel.
Arrivés en ce lieu, les combattants mirent pied à terre et, avant d'en venir aux mains, il y eut un pourparler. Bembro, qui avait fait ses réflexions, représenta à Beaumanoir qu'ils s'étaient engagés trop légèrement pour en venir à une pareille action, vu l'état de trêve où étaient leurs princes respectifs ; que, par conséquent, il était à propos de leur demander leur autorisation pour vider leur différend les armes à la main. Il proposa donc de s'abstenir de toute hostilité jusqu'à ce qu'ils eussent obtenu ce consentement.
Beaumanoir et ses Bretons, impatients de combattre, ne voulurent consentir à aucun délai et rejetèrent absolument la proposition de Bembro. Celui-ci, voyant l'ardeur impatiente qui animait ses adversaires, y opposa l'imperturbable et froid courage qui fit triompher ses compatriotes aux fatales batailles de Poitiers et de Crécy, malgré des forces ennemies bien supérieures. Il rangea ses compagnons sur une seule ligne de front et les fit se serrer étroitement l'un contre l'autre, de manière à présenter l'aspect d'une muraille de fer hérissée de piques, fauchards, épées à deux mains, guisarmes, etc. Dans cette position, il attendit l'attaque de ses ennemis.
Les Bretons, bouillant d'ardeur, s'avancèrent sans beaucoup d'ordre et se précipitèrent impétueusement sur cette redoutable ligne qu'ils cherchèrent, mais en vain, à entamer. Ils se fatiguèrent, se consumèrent en inutiles efforts et deux des leurs, Pierre Poulart et Geoffroy de Mellon, mordirent la poussière. Yves Chârruel, Caro de Bodegat et Tristan de Péruvien, abattus par Bembro à coup de marteau d'armes, furent contraints de se rendre prisonniers.
La fortune semblait vouloir se déclarer pour les Anglais, mais la perte de cinq des siens n'intimida point Beaumanoir ; il fit une courte harangue à sa troupe, l'exhorta à redoubler d'efforts et une charge vigoureuse fit reculer les Anglais, sans toutefois parvenir à les rompre. On se battit avec un acharnement sans exemple jusqu'à ce qu'enfin les deux partis, épuisés de fatigue et accablés par la chaleur, se séparèrent d'un commun accord pour se rafraîchir et reprendre haleine. Cette courte suspension d'armes fut suivie d'un choc plus terrible que les premiers. Beaumanoir surtout y fit des prodiges de valeur, mais fut blessé et la perte de son sang, jointe à la chaleur, lui causant une grande altération, il demanda à boire ; ce fut alors que l'écuyer de Geoffroy du Bois lui fit celle réponse si connue, « Bois ton sang, Beaumanoir, et ta soif passera ». Le maréchal, très affaibli, allait succomber et être fait prisonnier par Bembro lorsque Alain de Keranrais porta, à ce dernier, un coup de lance dans la visière qui lui entra dans l'œil, pénétra jusque dans la cervelle et le renversa raide mort. Le trépas de Bembro rendit libre, d'après les usages d'alors, les trois Bretons Charruel, Bodegat et Pestivien qui étaient ses prisonniers ; ils reprirent leur rang parmi leurs compatriotes.
Les Anglais, déconcertés par la mort de leur chef, commençaient à s'ébranler, l'un deux, nommé Croquart, aventurier sans ayeux, mais d'une grande bravoure, prit le commandement, leur cria de tenir ferme et de bien se resserrer l'un contre l'autre. Ils reformèrent leur ligne et disputèrent, avec une nouvelle opiniâtreté, l'avantage de cette journée aux compagnons de Beaumanoir.
Guillaume de Montauban, écuyer breton, voyant que le jour s'avançait et que malgré leurs efforts ses compatriotes ne pouvaient entamer la ligne que formaient les Anglais, s'avisa d'un stratège qui eut un plein succès ; se retirant à l'écart, il chaussa vite ses éperons, moulu sur son cheval et fit semblant de fuir, mais décrivant un circuit, il revint au galop sur les Anglais qu'il culbuta à coups de maillet en les foulant aux pieds de son coursier. Leur rang, une fois rompu, les Bretons l'enfoncèrent de toutes parts et achevèrent leur défaite en moins de rien.
Tel fut le combat des Trente ; la valeur qu'y déployèrent les guerriers des deux partis, l'acharnement avec lequel la victoire y fut disputée, passèrent en proverbe et, dans la suite lorsqu'on voulait parler d'un combat opiniâtre, on disait : « On s'y battit comme au combat des Trente. »
Mr le maire de Glénac, M. Duchesne du Tay, chevalier de St Louis en 1811, a participé à la réunion où se décidait l’élévation d’une pyramide érigée en 1823. La première pierre fut posée en 1819, monument en souvenir de la fameuse bataille des Trente dans laquelle, le 27 mars 1351, trente Bretons sous la conduite de Beaumanoir combattirent et défirent contre un nombre égal d'ennemis, vingt chevaliers anglais, six allemands et quatre bretons commandés par l'Anglais Bembro.
Réformation de 1427
La[40] Boutevelaye (la Bouteveillaye) -Boutevalaye "Le manoir de la Boutevelaye entien appartenant à Tristan de la Lande le jeune et y a métayer exempt..Jehanne deguerpie Jehan Jacotier veufve noble non contribuante.
Réformation de 1448
L'hostel de la Bouteveillaye lieu noble et ancien appartenant à Tristan de la Lande et, y est météer un nommé Hercelin
Réformation de 1536
La Bouteveillaye (la Bouleveillaye ) au sieur de Bodel[41]
4 Octobre 1600 , baptême de Jacques Mabon, fils de maître François Mabon et de Jacquette Pellené , sieur et dame de la Cherbonnays, fermiers de la terre et de la Seigneurie de Sourdéac ; parrain: maître Jacques Chesnaye, sieur de la Bouteveillays, marraine: Jeanne Rouxeau , femme de Maître Jean Moysan .
Datation de cette demeure: vers XVIII siècle.
Cette bâtisse présente une façade symétriquement agencée avec, au rez-de-chaussée, des ouvertures en plein cintre et, à l'étage, respectant l'alignement, des fenêtres à linteau droit et fronton triangulaire
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