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Faune des Marais de Glénac : Les Oiseaux

 

Les Oiseaux des Marais

Barge à queue noire - Chevalier Gambette - Avant [5] les aménagements hydrauliques des années 70, la richesse avifaunistique des marais de Redon et de Vilaine était notoire. Leur intérêt ornithologique revêtait un caractère à la fois européen, national et régional. En effet, situés sur la façade atlantique, ils constituaient une étape qui était alors utilisée massivement par les migrateurs et une zone d'hivernage qui était exploitée par de très nombreux échassiers, canards et oies. L'accueil, en particulier, de centaines, voire de milliers d'Oies rieuses (Anser albifrons) en hiver constituait l'une de leurs principales originalités. Les Marais de Vilaine faisaient partie intégrante du cortège des milieux naturels français de grande importance du projet MAR2 (projet de sauvegarde des zones humides d'importance internationale en Europe et en Afrique du Nord) et accueillaient, selon Pierre Constant, des nicheurs peu communs tels que Combattants variés, Chevaliers Gambettes, Barges à queue noire ou Canards. Ils jouaient enfin un rôle prépondérant, pour les oiseaux d'eau, dans les échanges entre les différentes zones humides intercomplémentaires de la Bretagne méridionale, du Golfe du Morbihan à l'Estuaire de la Loire. Les transformations des conditions de salinité et, surtout, les exondations hivernales rapides et brutales, du fait de la construction du barrage, ont affecté les possibilités de remise, de gagnage et de nidification de nombreuses espèces. Certaines, comme l'Oie rieuse ou quelques limicoles côtiers, ont d'ailleurs déserté les zones palustres ou fluviales qui étaient autrefois régulièrement exploitées par ces espèces.

Il faut cependant noter qu'à la différence de la végétation, le principal changement est ici d'ordre quantitatif, aussi bien en période de reproduction qu'en période de transit pré ou postnuptial et d'hivernage proprement dit. Même lors de l'hiver 1981-1982, pourtant propice au stationnement des anatidés, l'augmentation des densités d'oiseaux n'a pas été sensible dans les Marais de Redon. Toutefois, quelques étangs et marais permanents, tels que le Marais de Murin, le Marais de Gannedel, l'étang Aumé, l'étang de Tesdan et l'étang du Rocher, permettent encore le stationnement et la reproduction d'anatidés de surface et de quelques fuligules. De même, l'inondation plus ou moins prolongée de certains secteurs (bassin de Murin, Mortier de Glénac, marais de l'Isac, prairies des marais de Fégréac, de Béganne et de Rieux) autorise leur gagnage ou leur remise temporaires. La contrainte cynégétique y est, dans tous les cas, beaucoup plus perturbante qu'autrefois, en raison de la brièveté des délais de submersion et de la restriction des surfaces fréquentées par le gibier d'eau.

Bien placés entre le golfe et l'estuaire de la Loire, les marais de Vilaine et des environs sont idéalement placés sur la veine atlantique des migrations du Paléarctique occidental, à la confluence des axes Groenland – Iles britanniques et scandinavo-sibérien. Ils font de surcroît partie intégrante d'un grand complexe régional de zones humides, particulièrement interdépendantes quant à l'avifaune aquatique : golfe du Morbihan, marais Guérandais, bassin briéron. Les marais et la vallée de la Vilaine, en tant que couloir naturel, constituent par ailleurs une zone potentielle de gagnage et de transit pour de nombreux anatidés et limicoles en hiver et lors de leurs passages pré et postnuptiaux. En revanche, ils ne sont que d'un intérêt modeste pour la remise de ces oiseaux et pour leur nidification.

Les Oiseaux Migrateurs

Oiseaux Migrateurs

Les Marais de Vilaine sont situés sur la route des grandes migrations pré et postnuptiales des oiseaux européens. Les populations migratrices sont composées des oiseaux qui, nichant au Nord et à l'Est et fréquentant des quartiers d'hiver situés plus au Sud, transitent par la vallée de la Vilaine et ses marais lors de leurs descentes d'automne, en fait du milieu de l'été au cœur de l'hiver, puis lors de leurs remontées de printemps, de la fin de l'hiver à la fin du printemps, y effectuant des stationnements de récupération, repos, activités de confort, alimentation, dont la durée est plus ou moins longue selon les qualités d'accueil des milieux et selon la condition physique des oiseaux.

En outre, des oiseaux peuvent également y passer tout l'hiver, se servant des marais comme zones de gagnage nocturne et se remisant dans la journée sur des secteurs proches comme l'estuaire de la Vilaine et le golfe du Morbihan. C'est le cas du canard Siffleur (Anas pénélope) par exemple, que d'importants contingents s'alimentaient sur les marais de Redon avant la mise en place du barrage d'Arzal.

Cette avifaune migratrice et hivernante est essentiellement composée d'oiseaux d'eau et, spécialement, de canards de surface et de limicoles dont la satisfaction des exigences biologiques est alors étroitement dépendante :

  1. Du niveau d'eau sur les marais, .
  2. Du potentiel trophique (graines, plantes herbacées, microfaune endogée, etc.) de ces marais.
  3. De leurs caractéristiques paysagères, plus ou moins conformes à la sécurité et au confort de pose et d'envol des oiseaux

En hiver et durant les transits migratoires, les canards et limicoles les plus communs sont les suivants :

Les canards et limicoles

D'autres familles ou espèces d'oiseaux d'eau sont également bien représentées, mais restent souvent plus cantonnées à certains secteurs (Murin, Gannedel, Glénac, les divers étangs périphériques…). C'est le cas des rallidés avec D'autres familles ou espèces d'oiseaux d'eau sont également bien représentées, mais restent souvent plus cantonnées à certains secteurs (Murin, Gannedel, Glénac, les divers étangs périphériques…). C'est le cas des rallidés avec :

  1. a Foulque (Fulica atra)
  2. Le Râle d'eau (Rallus aquaticus),
  3. Les Grèbes (Podiceps cristatus et Tachybaptus ruficollis.),
  4. Le Grand cormoran (Phalacrocorax carbo)
  5. , Les ardéidés avec le Héron cendré [Ardea cinerea)
  6. l'Aigrette garzette [Egretta garzetta),
  7. Les laridés, avec parfois d'impressionnants regroupements de mouettes rieuses.

Des espèces plus occasionnelles

Certaines espèces sont nettement plus occasionnelles, mais encore assez régulièrement signalées :

Certaines espèces plus occasionnelles - -

 

Les Nicheurs et Oiseaux Inféodés aux Prairies Humides

Le cortège des nicheurs est plus clairsemé. En ce qui concerne l'avifaune aquatique, deux espèces dominent actuellement : le Canard colvert dont le nombre de couples est difficile à estimer, certainement plusieurs dizaines, et le Vanneau huppé, avec une moyenne de 50 couples. Plus aléatoire est la reproduction des deux Sarcelles, du Canard souchet ou du Fuligule milouin.

Les Nicheurs et Oiseaux Inféodés

Il faut aussi évoquer des espèces sans doute moins strictement inféodées aux milieux humides, mais emblématiques des rapports "pratiques agricoles/patrimoine ornithologique " en zone de prairies de marais. Ainsi, lors du suivi ornithologique de l'opération locale agro-environnementale (O.L.A.E.), réalisé entre 1998 et 2001, 7 espèces nicheuses avaient été étudiées sur 6 stations représentatives de la problématique agro-environnementale des Marais de Vilaine.

Les prairies étaient différenciées de la manière suivante :

Les 7 espèces avaient été choisies en raison d'une part de leur présence dans les Marais de Vilaine en période de reproduction, déjà établie lors de l'étude de 1995 préalable à la mise en place de l'O.L.A.E., et d'autre part en raison :

  1. De leur valeur patrimoniale ;
  2. De leurs interrelations avec les pratiques agricoles ;
  3. De la relative facilitée de leur recherche et du dénombrement de leurs populations.

Après seulement trois années de suivi, il fut difficile de tirer des conclusions agriavifaunistiques très parlantes. Mais le rapport final, en mai 2002 notait toutefois les points intéressants suivants dans sa conclusion : « On constate que, curieusement, le Pipit farlouse ne semble pas être un bon choix en ce qui concerne les espèces indicatrices de l'O.LA.E. des Marais de Vilaine. » En raison du caractère bio-indicateur de cette espèce, la sélection du Pipit farlouse était pourtant incontestablement pertinente. Mais nous ne l'avons jamais observé ou entendu durant la période de suivi et il s'avère que c'est toute la partie sud des Marais de Vilaine qui est désormais désertée par le Farlouse en période de nidification, situation assez générale en Loire-Atlantique, département presqu'en limite d'aire de répartition de l'espèce, alors que celle-ci est très commune dans le reste de la Bretagne. Cette raréfaction locale de l'espèce, pourtant habituelle lors de l'étude de 1995 préalable à la mise en place de l'O.L.A.E., est difficile à expliquer. En effet, selon l'Inventaire des oiseaux de France, la tendance concernant le Pipit farlouse est à l'expansion. De plus, les prairies des marais étudiés sont propices à sa nidification, notamment ceux des Marioux (Fégréac), du Haut de Clairet (Sévérac), de la Provotaie (Avessac) et, dans une moindre mesure, ceux de Casso (Sévérac).

Le Bruant des roseaux est indubitablement favorisé par le système de fossés et de douves avec frange buissonnante et bordure d'hélophytes. À partir du moment où cette structure hydrographique et cette" végétation compagne" sont présentes, l'espèce est avantagée, quelles que soient les autres modalités des contrats agro-environnementaux.

La Gorgebleue à miroir apprécie elle aussi ces postes de chant et ces lieux d'établissement du nid à proximité de l'eau, mais n'est notée pour l'instant que dans 3 stations. À l'instar du Bruant des roseaux, il est fort probable qu'elle soit ici relativement indifférente aux autres modalités des contrats agro-environnementaux et son absence sur l'ensemble des sites n'est sans doute que provisoire, la Gorgebleue étant en phase d'expansion géographique dans les Marais de Vilaine (comme en témoigne son apparition au cours de l'étude sur les stations des Marioux, de la Provostaie et de Haut de Clairet).

Ces 3 stations sont également celles où le Tarier des prés a été observé. Il est lui aussi avantagé par les buissons et formations végétales assez hautes des fossés et bordures des stations d’échantillons, mais il recherche en plus les prairies de fauche. La situation hydraulique particulière de la station de Casso, à laquelle s'ajoutent la rareté et le déclin régional de l'espèce, explique certainement l'absence du Tarier dans cette partie des marais de l'Isac, trop « aquatiques ». En ce qui concerne la Bergeronnette printanière et l'Alouette des champs, ce sont avant tout les retards de fauche, au moins à la mi-juin, qui semblent favoriser ici les 2 espèces. Par contre, si la Bergeronnette peut éventuellement s'accommoder du caractère très humide des parcelles (comme à Cassoj), c'est plus difficile pour l'Alouette qui, comme le Tarier, est pénalisée par des inondations prolongées.

Quand au Vanneau, la zone de nidification des Marioux est en dehors des parcelles échantillons et, lors de l'étude, seule la station de Casso a vu se reproduire l'espèce. C'est sur l'ensemble des marais de Vilaine que la situation du Vanneau nicheur est très mauvaise. En effet, dans un contexte démographique régional plus favorable (comme celui des années 1950 à 1970), toutes les stations (sauf celle d'Henrieux à Fégréac, peut-être trop bocagère et fermée) pourraient convenir à la nidification de l'espèce, y compris celles concernées par des contrats de fauche, à condition que celle-ci ne soit pas trop précoce (c'est-à-dire postérieure au 15 juin).

Busard des roseaux - L'Office national de la chasse et de la faune sauvage participe, depuis 2003, aux travaux de l'Observatoire national de l'écosystème prairie de fauche, dont l'objectif est de synthétiser et de diffuser des données enregistrées annuellement dans les régions de France où la gestion des prairies permet encore à des populations nicheuses d'oiseaux prairiaux de subsister. Selon Sébastien Gautier, les dix stations ainsi suivies sur la commune de Rieux dans le cadre de O.N.E.P.F. sont relativement stables, avec des « indices passereaux prairiaux » (IPP) et une diversité spécifique élevée, plaçant ces stations des Marais de Vilaine au 6e rang des 906 stations françaises suivies en 2005. Sébastien Gautier note toutefois qu’il est cependant très important de rester vigilant, car cette richesse est fragile ; les dates de fauche de plus en plus précoces, la fertilisation azotée, la fauche du regain plutôt que le pâturage sont autant de paramètres qui agissent négativement sur cette diversité.

Les roselières des Marais de Vilaine accueillent aussi une dizaine de couples de Busards des roseaux (Circus aeruginosus), tandis que les formations arborées, saulaies principalement, permettent à quelques héronnières de s'installer chaque année.

Hérons Cendrés -

En 2000, lors du 8e inventaire national des grands échassiers et cormorans nicheurs, Didier Montfort a dénombré 6 héronnières dans les Marais de Vilaine.

A noter également la nidification d'un couple de hérons cendrés depuis 2005, au Guervet en Nivillac (S. Gautier, O.N.C.F.S.). Même si, comparés à ceux de l'ensemble de la Loire-Atlantique par exemple, ces effectifs sont modestes, ils témoignent cependant de l'intérêt des Marais de Vilaine pour l'accueil, réel ou potentiel, des grands échassiers en période de reproduction

Les Oiseaux en Hiver

 

Guifette – Héron –

Le stationnement d'oiseaux d'eau concerne surtout les vanneaux huppés dont les effectifs peuvent atteindre 10 000 individus, mais on peut observer de nombreux autres limicoles en faibles quantités, ainsi que quelques centaines de canards. Même si les effectifs sont faibles, la diversité observée est un bon indicateur de la richesse du milieu. Les facteurs limitant les stationnements de canards sont de deux ordres : inondations rares ou trop brèves, dérangements élevés dû à la chasse et aux nombreux chemins d'exploitation.

En Halte Migratoire de Printemps

La chasse est fermée et certains sites peuvent alors exprimer leur potentiel, si les niveaux d'eau sont encore corrects (en mars-avril, ce n'est pas toujours le cas). On peut ainsi observer certaines années des passages de canards (pilet, souchet et chipeau), des oies cendrées et des barges à queue noire. En mars 1992, les stationnements du Canard pilet dans la vallée de l'Isac ont atteint l'importance internationale. Malheureusement, les niveaux d'eau sont généralement trop faibles dans la Vilaine à cette saison.

Reproduction

Les oiseaux les plus intéressants du marais sont des passereaux

  1. Gorgebleue
  2. Tarier des prés
  3. Locustelle luscinioïde
De nombreuses espèces semblent avoir disparu :

Toutefois, il n'est pas exclu que certaines d'entre elles puissent se réinstaller sur des niveaux d'eau plus convenables. Les marais gardent un rôle important pour les rapaces comme terrains de chasse privilégiés : Milan noir, Busard des roseaux, Faucon hobereau notamment. Enfin, la dynamique actuelle de la Cigogne blanche dans l'Ouest laisse espérer une future installation.

La Cigogne blanche a niché, sans succès, en 2006 près du Pordor en Avessac

Des Oiseaux rares

La Guifette noire (Chlidonias niger) et la Guifette moustac (Chlidonias hybridus) ont déserté, depuis les années 1970, les Marais de Vilaine où elles nichaient occasionnellement au lac de Murin. En revanche, la Marouette ponctuée (Porzana porzana) y a été retrouvée en 1991, puis en 1999, avec un total de 3 à 4 chanteurs dans les marais de Redon, dont 2 à 3 individus dans le marais de Gannedel. À la même époque, en Loire-Atlantique, une enquête de la LPO 44 (Ligue de protection des oiseaux) mettait en évidence l'existence d'une population départementale préestimée à une trentaine de chanteurs.

Une autre espèce, très rare en Bretagne, la Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio), non signalée depuis les années 1950 dans les marais de Vilaine, a également été retrouvée, d'abord en 2001 dans les marais du Roho à Saint-Dolay, puis lors d'une opération ornithologique concertée en juin 2003, associant une trentaine d'observateurs et permettant d'aboutir à un dénombrement d'environ 14 à 16 couples dans les prairies des marais de Basse-Vilaine. C'est la plus importante population actuellement connue en Bretagne. Au cours du printemps 2006, le suivi de cette espèce sur les seules communes de Rieux, Allaire, Saint-Dolay, Théhillac et Béganne a permis de mettre en évidence la présence de 19 couples.

Oies Rieuses

Oies Rieuses -L'Oie rieuse, dont la population hivernante des Marais de Vilaine était déjà en diminution dans les années 60 selon Francis Roux (360 individus dénombrés en janvier 1962, 500 en janvier 1955 et 3000 environ au début des années 1950), n’hiverne essentiellement désormais qu'en Champagne humide où se trouvent concentrés plus de 80 % des effectifs français (en dehors des hivers anormalement rigoureux ou des vagues de froid).

Francis Roux notait en 1962, au sujet des prairies inondables bordant la Vilaine en aval de Redon : dans des circonstances climatiques normales, on a peu de chances d'observer l'espèce ailleurs qu'en deux ou trois points bien localisés du Nord-Ouest du territoire : les polders de la baie du Mont-Saint-Michel, l'estuaire de la Loire et les marais de Redon. Seule la dernière de ces localités peut être considérée comme une authentique station d'hivernage, fréquentée fidèlement par les mêmes oiseaux durant toute une saison. Il ne nous a pas encore été donné de nous y rendre entre décembre et mars sans y rencontrer des Oies rieuses.

Et Francis Roux concluait : la fidélité avec laquelle les Oies rieuses reviennent chaque année sur les bords de la Vilaine montre combien le site leur est familier. C'est, à présent, l'un des derniers, l'ultime peut-être, dont l'espèce dispose en France pour hiverner. C'est aussi le point le plus méridional qu'elle atteigne régulièrement en Europe occidentale. Devra-t-elle le déserter à jamais ?

Le principal site français est aujourd'hui le lac du Der-Chantecoq qui, en janvier 2005, a atteint un record de 225 individus, soit 84 % de l'effectif national. La même année, faible hivernage en revanche dans la Baie de l'Aiguillon et à la Pointe d'Arçay : 15 individus ; dans la Réserve Naturelle de Saint-Denis-du-Payré : 8 individus ; ou sur le cours du Rhin : 6 individus !

(source : Dénombrements d'anatidés et de foulques hivernant en France, janvier 2005, Wetlands International).

 

Oiseaux sur le Mortier

Oiseaux du Mortier -

Plusieurs espèces de canards. C'est d'ailleurs dans cette seule partie du cours que l'Oust bénéficie d'espaces naturels remarquables, à savoir une zone naturelle d'intérêt écologique, la vallée de l’Oust faunistique et floristique et surtout la zone des marais de Redon, inscrite comme site Natura 2000 mais qui déborde très largement sur le bassin propre de la Vilaine.

Dans la vallée, peuvent être observés

Oiseaux de la Vallée -

 

 

[5] Histoire des marais

[6] Annales de l’A.P.P.H.R [2] Balade en marais poitevin

 

 

 

 



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