Militaire : 39-45- Histoire de Glénac

Soldats Morts à la Guerre 39-45

Soldats Prisonniers 39-45

Mèmoires de Guerre

 

Monument aux Morts -

 

Morts de la Guerre 39-45

  Alexandre Pierre Marie CHEVAL

  • Né le 25-10-1907 à Glénac

Bulletin de naissance de M. Cheval  

Ecusson du 6 régiment du génie -Mort pour la France : le 14-05-1940 (Visny) à 32 ans, 6 mois et 20 jours

Statut tmilitaire

Unité : 6e régiment du génie (6e RG)

Mention : Mort pour la France

Sources : Service historique de la Défense, Caen

Cote : AC 21 P 44300

 


Paul Marie DE QUENGO DE TONQUEDEC

  • Né le 06-01-1905 à Glénac

Bulletin de naissance de M. DE Quengo de Tonquedec

Ecusson du 19 régiment du génie -Mort pour la France : le 05-06-1940 (Trosly-Loire, 02 - Aisne, France)

à 35 ans, 4 mois et 30 jours

Statut militaire

Unité : 19e régiment du génie (19e RG)

Mention : Mort pour la France

Sources ; Service historique de la Défense, Caen

Cote : AC 21 P 138629

 


Jean Marie HERVE

  • Né le 06-06-1902 à Glénac

Bulletin de naissance de M. Hervé -

Ecusson du 6 régiment du génie -Mort pour la France le 28-02-1940 (Laon, 02 - Aisne, France)

à 37 ans, 8 mois et 22 jours

Statut militaire

Unité : 6e régiment du génie (6e RG)

Mention : Mort pour la France Cause du décès maladie

Sources : Service historique de la Défense, Caen

Cote : AC 21 P 49786

 


Marcel Auguste Jean Marie HERVE

  • Né le 08-09-1914 à Glénac

Bulletin de naissance de M. Hervé -

Ecusson du 23e RIC - Mort pour la France : le 17-01-1944 (Planen, Allemagne)

Statut militaire

Unité : 23e régiment d'infanterie coloniale (23e RIC)

Mention : Mort pour la France

Sources : Service historique de la Défense, Caen

Cote : AC 21 P 49803

 


Julien Marie ROYER

  • Né le 01-02-1900 à Glénac

Bulletin de naissance de M. Royer

Mort pour la France : le 04-02-1940 (Juilly)

Histoire du 1er bataillon - à 40 ans, 0 mois et 3 jours

Statut militaire

Unité : 438 e RPI

Mention : Mort pour la France Cause du décès maladie

Sources : Service historique de la Défense, Caen

Cote : AC 21 P 144406

 

 

 


Prisonniers 39-45(suivant liste Allemande)

 

Noel Eugene

  • le 9-8-1910 à Glénac

MilitaireEcusson du 111 régiment

Capitaine au 111e Regiment

France 1940

 

 

 

Bulletin de naissance de M. Noel-


ROBIN Marcel

  • le 10 6-1911 à GLENAC

Ecusson du 406 DCA -Militare

2e classe au 406 D.CA

  • Bulletin de naissance de M. Robin-

 

CHEVALIER Joseph

Ecusson du 111 régiment

 

 

le 24-4-1909 à Glénac

Militaire

2 classe au 111 Division infanterie

 

 

 


DANET Eugène

Ecusson du 111 régiment le 22-11-1900 à Glénac

Militare

2 classe au 111 Division infanterie

 

 

 

 

Bulletin de naissance de M. Danet-


CHEVALIER Auguste

Ecusson du 219 R.I - le 23-03-07 à Glénac

Militaire

2 classe au 219 R.I

 

 

Bulletin de naissance de M. Chevalier-


BOUDARD Alphonse

le 3-4-1902 à Glénac

Militaire

2 classe au TM932/21

Bulletin de naissance de M. Boudard-


LAUGE Maurice

Ecusson du 64 R.I - le 6-2-1911 à Glénac

Militaire

Lieutenant au 64 R.I

 

 

Bulletin de naissance de M. Laugé-

 

 


Autre Prisonnier 39-45 : M. DEBRAY ALBERT

     

    DEBRAY Albert

    le 13 Octobre 1919 à Glénac

    Militaire

    Ecusson du 11 régiment de Cavalerie -Prisonnier : le 21/06/1940

    Interné : à Le Stalag III-D

    Libération : le 15/06/1945

    Bulletin de naissance de M. Debray-

      • Recrutemant

    Récépissé de la carte de recrutement -

    Vaccination : typhus

    Vaccination contre le typhus-

    • Courrier pendant la guerre

    Courrier pendant la guerre-

    Camp de : Le Stalag III-D

    Était un camp de prisonniers de guerre allemand situé à Berlin pendant la Seconde Guerre mondiale. Voici les principales informations sur ce camp

  • Localisation et administration
    • Le camp a été établi le 14 août 1940 à Berlin-Lichterfelde, au coin de Landweg et d'Osdorfer Straße. Les bureaux administratifs du camp (Kommandantur) étaient situés à Belle-Alliance-Straße 106-107 dans le quartier de Kreuzberg.
  • Prisonniers
    • Le Stalag III-D accueillait des prisonniers de guerre de diverses nationalités, notamment : Belges, Britanniques, Français, Yougoslaves, Soviétiques, Polonais, Américains, Italiens, Tchécoslovaques .
    • La capacité maximale du camp était de 58 000 prisonniers.
  • Organisation
    • Les prisonniers étaient principalement répartis dans des sous-camps (Zweiglager) et des détachements de travail (Arbeitskommandos) dans Berlin et ses environs. En réalité, le Stalag III-D était une entité administrative gérant environ 3000 camps satellites disséminés dans toute la ville de Berlin.
    • Les soins médicaux étaient assurés par deux hôpitaux de réserve : le Reserve Lazarett 119 à Neukölln et le RL 128 à Berlin-Biesdorf.
  • Conditions générales
    • Surpeuplement : À partir d'octobre 1944, le camp était surpeuplé, ce qui entraînait une détérioration des infrastructures. Les locaux initialement destinés aux activités intellectuelles et culturelles étaient réquisitionnés pour servir de cantonnement.
    • Manque d'hygiène : Les baraques étaient souvent surpeuplées, avec des paillasses en paille rarement changées, infestées de parasites tels que les puces et les punaises. Les toilettes mal séparées des dortoirs contribuaient à une odeur constante d'urine dans les bâtiments.
  • Travail des prisonniers
    • Un siège de commandement (Kommandantur) gérait le travail des prisonniers dans des commandos répartis dans tous les secteurs de Berlin et ses alentours. Certains prisonniers étaient affectés à des travaux agricoles.
    • Le 15 juin 1943, le camp comptait environ 17 743 prisonniers selon les informations fournies à la direction des services des prisonniers de guerre à Lyon.
    • Les conditions de vie au Stalag III-D de Berlin étaient extrêmement difficiles pour les prisonniers de guerre.
  • Travail forcé
    • Les prisonniers étaient contraints à des travaux exténuants dans des mines, des usines ou dans l'agriculture. La durée quotidienne de travail pouvait atteindre 12 à 15 heures, souvent dans des conditions dangereuses et insalubres.
    • Certains travaillaient dans des environnements nocifs, comme des usines de viscose où ils étaient exposés à des vapeurs acides sans protection adéquate. Cela entraînait des brûlures et une dégradation générale de leur santé.
  • Alimentation
    • Les rations alimentaires étaient insuffisantes, fournissant moins de 2 000 kcal par jour, bien en dessous des besoins d'un adulte actif. Les colis envoyés par la Croix-Rouge ou les familles étaient essentiels pour compléter leur alimentation.
  • Santé et discipline
    • La sous-alimentation et les conditions de travail provoquaient des maladies telles que l'avitaminose, la furonculose et des infections chroniques. Les soins médicaux étaient limités et souvent inadéquats.
    • La discipline était brutale, avec des coups portés sur les prisonniers et des punitions fréquentes, comme le garde-à-vous prolongé face à un mur.
  • Loisirs et solidarité
    • Malgré ces conditions, certaines activités culturelles comme le théâtre ou la musique étaient organisées pour offrir une parenthèse dans le quotidien morose. Cependant, ces initiatives devenaient rares à mesure que les conditions se dégradaient.
    • En résumé, la vie au Stalag III-D était marquée par un mélange de souffrance physique et morale, aggravée par le surpeuplement et le travail forcé. Les prisonniers dépendaient largement de l'aide extérieure pour survivre.
  • Les conséquences physiques du travail dur au Stalag III-D étaient sévères et nombreuses
    • Épuisement et affaiblissement général
      • Les prisonniers étaient souvent décrits comme "fourbus" et "abrutis" par le travail excessif.
      • Ils présentaient une apparence de fatigue extrême, avec un teint pâle et blême
      • . Certains prisonniers tombaient de faiblesse pendant leur travail, notamment dans les mines.
  • Problèmes de santé spécifiques
    • Furonculose : de nombreux prisonniers souffraient d'éruptions de furoncles, signe d'un système immunitaire affaibli.
    • Avitaminose : la malnutrition chronique entraînait des carences vitaminiques sévères.
    • Infections chroniques : les conditions d'hygiène déplorables favorisaient le développement d'infections persistantes.
    • Blessures et brûlures : particulièrement dans les usines où les prisonniers manipulaient des substances corrosives sans protection adéquate.
  • Perte de poids importante
    • Les prisonniers étaient décrits comme "très amaigris", conséquence directe du travail forcé combiné à une alimentation insuffisante
  • Troubles du sommeil
    • Le bruit constant (par exemple, des trains dans certains Kommandos) et les conditions de logement inadéquates empêchaient un repos réparateur
  • . Maladies respiratoires
    • L'exposition à des vapeurs toxiques dans certaines usines, comme celles de viscose, provoquait des problèmes respiratoires. Ces conséquences physiques étaient aggravées par les longues journées de travail (souvent de 12 à 15 heures), le manque de repos hebdomadaire, et des conditions de vie insalubres dans des baraques surpeuplées et infestées de parasites

Carte de Rapatrié

Carte de rapatrié -

Fiche de démobilisation

Fiche de démobilisation -

Fiche de Services

Fiche de services -

 

 

 

 



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