memoires

Mémoire de Guerre 14-18 :

voir aussi Resistant guerre 39-45

Carte de Recrutement

Regiment Rose

Histoire du Régiment -

Livret Militaire

Parcours Militaire

Recrutement au bureau de Vannes
Affectation au 118 Régiment Infanterie
1794 : Création de la 118e Brigade de Bataille pour participer à la campagne en Italie, constitué des unités suivantes
2e bataillon du 59e Régiment d'Infanterie de Ligne.
2e bataillon de Volontaires de la Drôme
3e bataillon de Volontaires de l'Isère
1796 : Dissolution et incorporation dans la 32e Demi-Brigade d'Infanterie de Ligne.
1808 : Création du 118e Régiment d'Infanterie de Ligne pour la guerre d'Espagne (1808-1814), constitué des unités suivantes :
11e régiment provisoire d'infanterie
1814 : Suppression
1870 : Reconstitution pour la guerre de 70.
1914 : À la mobilisation, il donne naissance au 318e Régiment d'Infanterie
1928 : Dissolution du régiment
30 mai 1940 : reconstitution du régiment
19 juin 1940 : le régiment est anéanti par l'offensive allemande
15 octobre 1944 : le régiment est reformé
6 mars 1946 : Dissolution du régiment
1970 : Recréation du régiment comme régiment de réserve
20 décembre 1997 : Dissolution définitive

Participation à la bataille « Chemin des DAMES »

Plan de la Bataille « Chemin des Dames » -

Le Chemin des Dames est un plateau calcaire, orienté Est-Ouest, situé entre la vallée de l'Aisne, au sud, et la vallée de l'Ailette, au nord. Ce plateau est un bel observatoire, tant vers le nord et la plaine située à l'est entre Reims et Laon, que celle située au sud depuis Soissons1. Les Allemands sont présents sur le plateau depuis septembre 1914. Ils ont eu le temps de transformer cet observatoire en forteresse en aménageant les carrières souterraines en creusant des souterrains permettant de relier l'arrière aux premières lignes, en édifiant et camouflant de nombreux nids de mitrailleuses.

Depuis cette date, c'est un secteur relativement tranquille qui n'a pas fait l'objet, depuis la fin 1915, de grosses offensives. Les Allemands tiennent la ligne de crête et les Français sont établis sur les pentes .

Première blessure

Photo des Tranchées -

Au cours de cette bataille beaucoup de soldats seront gazés avec le gaz moutarde appelé aussi Ypérite, dérivé du nom de la ville d’Ypres en Belgique, où il fut,pour la première fois utilisé, au combat le 22 avril 1915 à cause de ce gaz.Mr CHEVALIER Henri, subit la perte d’un œil , l’autre fut endommagé.

Après la Bataille

Photo après la Bataille -

Deuxième et troisièmes Blessures

Détails des blessures

Mr CHEVALIER Henri était à écrire une lettre pour un camarade qui ne savait pas écrire, cela était très courant à cette époque, quand une pluie d’obus est tombée provoquant la mort de son camarade et lui-même se trouva enseveli dans la terre, il doit la vie à un camarade qui le ramena à l’air. Mais des éclats d’obus s’étaient logés à l’arrière de la tête et dans un côté, mais ne touchant pas d’organes important.

Dans l’hiver 1917 Mr CHEVALIER Henri, un froid terrible gela un de ces pieds, ce mal revenait quand la température descendait assez bas, la douleur était intense, il se soignait avec des feuilles de noyer qu’il mettait comme une compresse .

Il terminera le service militaire à l’hôpital de Ploërmel .(1)